Secte politique ou parti de masse ?

Citation :

Pour résumer, nous avons vu jusqu’à présent trois approches. L’une, que nous pouvons rejeter : celle qui consiste à se replier sur soi avec seulement des militants individuels, sans aucun centre politique. Le vrai problème est de savoir si le centre politique doit nécessairement être une secte. C’est un problème de rapport entre l’avant-garde et la classe, pas seulement de deux formes organisationnelles.

La secte se situe à un niveau élevé, bien au-dessus de celui de la classe ouvrière et sur une base mince recrutée selon des critères idéologiques, forcément extérieurs à la classe ouvrière. Elle revendique son caractère ouvrier sur la base de ses aspirations et de son orientation, non de sa composition ou de sa vie interne. Elle s’efforce de hisser la classe ouvrière à son niveau ou l’appelle à monter jusqu’à elle. De derrière ses frontières organisationnelles, elle envoie des groupes d’éclaireurs prendre contact avec la classe ouvrière et des missionnaires pour en convaincre deux ou trois. Elle se voit devenir un jour un parti révolutionnaire par un procédé d’addition ou par une éventuelle unité avec deux ou trois autres sectes ou peut-être par un processus d’entrisme.

Revue période

j'aime bien le sexe a niveau élevé.

Pour éviter de se faire bobo au cœur et au cerveau dans des processus de scission morbides : éviter de courir après le mirage de l'unité, cet espèce de mythe qui, à bien y réfléchir, ressemblerait à un enfer s'il venait à s'accomplir un jour !
Dans les orgas, faites pour élaborer des programmes, motions et autres lignes politiques en guise de "stratégie" perdante, les gens qui les composent ont en réalité un véritable millefeuilles de relations pour tel ou tel type d'activité, la plupart en-dehors de leur chapelle, ne partageant pas plus l'intégralité de leurs activités, désirs et pensées que les membres de leur orga politique. Si on superpose toutes ces relations, on touche un très grand nombre de gens dans la vie quotidienne, réelle. Pour ma part, je préfère assumer cette diversité (oh le gros mot), ce côté bancal et incomplet des relations. Ca permet de faire des choses concrètes, sans trop se prendre la tête et se retrouver déçu/blasé/aigri. Politiquement, on peut appeler ça le fédéralisme libertaire, mais je vais arrêter avec les gros mots !

Pete E. a écrit:

mais je vais arrêter avec les gros mots !

mon cul.
Mais bien parlé Aristote.

la masse cest un trucs de partis
faut faire des truc entre amis (meixu pour les maladies) et de toute facon tous les batards qui disent que ca fait avant garde cest des gros batards davangardistes qui disnet que leur avant gardes est la mieux... en gros cest des autoritaiures qui vont nous fumer a la bolshevik ou comme pdt la republik espagnol MERDE
et pour avoir plein damis faut faire plein de blagues, donner plein de beu ou etre marrant dune maniere ou dune autre
apres tas une armer damis et tu peux commencer la conquete du vieux monde tes le roi du petrole

Ce retour en fanfare, tu m'as manqué-e, je commençais même à m'inquiéter.

Lumpen Petite Bourgeoisie a écrit:

Ce retour en fanfare, tu m'as manqué-e, je commençais même à m'inquiéter.

flooder c'est la santer
vous m'avez manquer aussi et tout ces posts a lire quel cadeau du ciel