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messeufs a écrit:

Ne commences pas à t'adminiser toi. Mais ouais emuile reviens, si qqun à le contact ce serait bien de lui faire un coucou de notre part . Et AIDA !

C'est bon juis là.
Et puget devrait bastarder je pense.

Lepauvre a écrit:

messeufs a écrit:

Ne commences pas à t'adminiser toi. Mais ouais emuile reviens, si qqun à le contact ce serait bien de lui faire un coucou de notre part . Et AIDA !

C'est bon juis là.
Et puget devrait bastarder je pense.

Ok sinon vous me dîtes je peux faire semblant du mieux que je peux.

M. a écrit:

Ok sinon vous me dîtes je peux faire semblant du mieux que je peux.

D'ailleurs il nous avait caché ses petits copains.

Emuile de retour, avec un pseudo piteux
Je ne pensais pas remercier un jour un mao, mais c'est cool de ta part Fusak d'avoir fait le nécessaire !

Ho unnouveau, chouette, tu te présente stp !

Présente-toi toi-même, face de cul

Pete E. a écrit:

Présente-toi toi-même, face de cul

En hommage à fuzakive qui prend les initiataves, ça va pas durer

Désolé c'est con de pas avoir repris le même nom, je m'embrouille aussi avec les autres changements de pseudo

Une introduction à la méthode dialectique appliquée par Marx. D'une grande limpidité, je le conseil à tous ceux qui veulent des outils pour mieux comprendre l’œuvre de Marx et de tous les marxistes qui ont accordé un intérêt à la dialectique.

Un super livre qui se présente comme une lettre de l'auteur-e adressée à sa fille. Catherine Baker y explique son refus de scolariser sa fille. Elle y dénonce l'école-caserne. Le tout est assez détaillé, même si le livre commence à vieillir. Son anti-âgisme la conduit à appliquer des rapports égalitaires avec sa fille. Sa fille, Marie, s'éduque à ses côtés, sans contrainte. Elle évoque un peu le cas des écoles libres.
C'est très bien écrit, chaleureux, pas cher (gratuit sur le site tahin party) et publié par la maison d'éditions tahin party non moins sympathique.
Un bémol, tout un chapitre est consacré à d'éventuelles relations affectives et/ou sexuelles avec des mineurs, ce qui peut choquer.
Un bon livre qui vous donnera envie de foutre komorone au chomedu.

Une citation de Marx, tirée de la Critique du programme de Gotha, où celui-ci s'indigne de "la folie qui consiste à confier l'enfant de l'exploité aux bons soins de l'exploiteur".

L'antisco c'est quand même un truc de bourgeoises housewives en pratique.

Peut-être, ça reste très minoritaire, l'auteur-e est plutôt une marginale (hippie) d'origine aisée qui survit avec de la débrouille. Elle ne s'intéresse pas tellement aux pédagogies alternatives ni aux écoles hors contrat. Je te l'ai filé, je sais pas si tu l'as lu, ça se lit vite, c'est vraiment plaisant.
Vu le nombre de cassos, qui ne travaillent pas en France et qui ne travailleront jamais, je ne vois pas pourquoi, certain-e-s d'entre elleux ne tentent pas plus l'expérience, l'aspect gardiennage ne joue par pour celleux-là, quant à la réussite de leurs gosses, j'espère qu'illes ne croient pas au Père Noël. Bref, "on envoie les gosses à l'école parce que ça se fait" comme le dit l'autrice.
Après c'est vrai que si t'es pauvre, tu fais pas de gosse, c'est encore plus simple, écologique, tu refuses de reproduire la force de travail et ça laisse du temps libre pour militer dans un sens révolutionnaire rien branler de ses journées.

Et le gosse socialise avec qui s'il est tout le temps dans les jupons de maman ?

ou de papa.
Ben avec les autres gosses, si possible non scolarisés-e-s aussi, sinon sur le "temps libre" des autres. Est-ce que c'est pire que l'ecole?

Et l'apprentissage de la sociabilité servilité et du respect des règles de vie en commun de la vie carcérale alors ?

Lumpen Petite Bourgeoisie a écrit:

ou de papa.
Ben avec les autres gosses, si possible non scolarisés-e-s aussi, sinon sur le "temps libre" des autres. Est-ce que c'est pire que l'ecole?

J'ai du mal à voir comment il va rencontrer beaucoup d'autres gosses de cette manière là. A cet âge là tes potes tu te les fais à l'école. Pour moi ce genre de démarche c'est vouloir faire grandir les enfants dans une bulle protégée de la société, c'est un délire typiquement petit-bourgeois qui mène à rien sauf à construire des individus qui seront totalement coupés de la réalité sociale et qui vont vraiment recevoir un gros coup dans la tronche quand ils devront faire sans papa/maman.
Après je m'en fous un peu de ce que fait la petite-bourgeoisie de ses enfants, les prolétaires ont pas vraiment le temps de gérer leurs enfants à temps plein, c'est pas ce genre de trip qui va en séduire beaucoup, ça nous fait plutôt golri en fait.

On rentre à l'école en faisant des cabrioles (même pas mal), des dessins (surpassant tous les dadaïstes), des claques (aux vilains) et des bisous (aux copains), et on en sort tout angoissé, n'ayant plus pour seule réalité que l'obéissance et pour seul rêve que de trouver un boulot pas trop moisi. Je ne sais pas si c'est que la faute à l'école actuelle. Les écoles qui nous apprendraient à reprendre la clé des champs restent encore à inventer (hors les murs). Il y a plus de chance de trouver les solutions en prêtant une oreille attentive aux personnes enfermées qu'on appelle les élèves (qui chuchotent, font des bêtises, sociabilisent et analysent plutôt bien dans quoi ils se débattent), qu'en se résignant aux revendications des momies desséchées d'anciens élèves que sont leurs professeurs.

Fusako Shigenobu a écrit:

Lumpen Petite Bourgeoisie a écrit:

ou de papa.
Ben avec les autres gosses, si possible non scolarisés-e-s aussi, sinon sur le "temps libre" des autres. Est-ce que c'est pire que l'ecole?

J'ai du mal à voir comment il va rencontrer beaucoup d'autres gosses de cette manière là. A cet âge là tes potes tu te les fais à l'école. Pour moi ce genre de démarche c'est vouloir faire grandir les enfants dans une bulle protégée de la société, c'est un délire typiquement petit-bourgeois qui mène à rien sauf à construire des individus qui seront totalement coupés de la réalité sociale et qui vont vraiment recevoir un gros coup dans la tronche quand ils devront faire sans papa/maman.
Après je m'en fous un peu de ce que fait la petite-bourgeoisie de ses enfants, les prolétaires ont pas vraiment le temps de gérer leurs enfants à temps plein, c'est pas ce genre de trip qui va en séduire beaucoup, ça nous fait plutôt golri en fait.

Tu décris la réalité tant rêvé, tout en dénonçant le résultat de ta révolution une fois réussie, ou je rêve ?

Citation :

Lumpen Petite Bourgeoisie a écrit:
ou de papa.
Ben avec les autres gosses, si possible non scolarisés-e-s aussi, sinon sur le "temps libre" des autres. Est-ce que c'est pire que l'ecole?


J'ai du mal à voir comment il va rencontrer beaucoup d'autres gosses de cette manière là. A cet âge là tes potes tu te les fais à l'école. Pour moi ce genre de démarche c'est vouloir faire grandir les enfants dans une bulle protégée de la société, c'est un délire typiquement petit-bourgeois qui mène à rien sauf à construire des individus qui seront totalement coupés de la réalité sociale et qui vont vraiment recevoir un gros coup dans la tronche quand ils devront faire sans papa/maman.
Après je m'en fous un peu de ce que fait la petite-bourgeoisie de ses enfants, les prolétaires ont pas vraiment le temps de gérer leurs enfants à temps plein, c'est pas ce genre de trip qui va en séduire beaucoup, ça nous fait plutôt golri en fait.

Les enfants de la bourgeoisie ne sont pas et ne seront jamais dans la même réalité sociale que celle des prolos. De plus, la réussite étant plus liée au népotisme et aux codes familiaux qu'à la valeur des diplômes, illes réussiront mieux de toute façon.
Quant aux gosses de lumpen, ce serait plutôt l'école de la rue.
J'analyse pas vraiment ça sous l'angle du trip, c'est plus une expérience intéressante.
T'es prolo toi maintenant? Tu sais, je ne veux pas te décevoir mais beaucoup de choses font rire des (et surtout pas les) prolos, le féminisme, l'homosexualité, les droits des sans-papiers, les cloches, les habits non occidentaux des personnes en situation d'étrangisme...

Citation :

Et l'apprentissage de la sociabilité servilité et du respect des règles de vie en commun de la vie carcérale alors ?

Citation :

Les enfants de la bourgeoisie ne sont pas et ne seront jamais dans la même réalité sociale que celle des prolos. De plus, la réussite étant plus liée au népotisme et aux codes familiaux qu'à la valeur des diplômes, illes réussiront mieux de toute façon.

Mais j'ai jamais prétendu le contraire.

Citation :

Quant aux gosses de lumpen, ce serait plutôt l'école de la rue.

Pas que, loin de là, même si le quartier permet aussi de se faire d'autres potes qu'à l'école.

Citation :

T'es prolo toi maintenant? Tu sais, je ne veux pas te décevoir mais beaucoup de choses font rire des (et surtout pas les) prolos, le féminisme, l'homosexualité, les droits des sans-papiers, les cloches, les habits non occidentaux des personnes en situation d'étrangisme...

Qu'il existe des contradictions au sein du peuple c'est une chose (et la manière dont tu les décris est totalement caricaturale, les prolos sont loin de se moquer du droit des sans-papiers car une bonne partie non négligeable d'entre eux le sont ou travaillent avec eux), ça change rien au bon sens prolétarien de répudier les modes et tendances de la petite bourgeoisie. C'est pas très difficile de distinguer les deux pourtant.

Citation :

Citation :
T'es prolo toi maintenant? Tu sais, je ne veux pas te décevoir mais beaucoup de choses font rire des (et surtout pas les) prolos, le féminisme, l'homosexualité, les droits des sans-papiers, les cloches, les habits non occidentaux des personnes en situation d'étrangisme...
Qu'il existe des contradictions au sein du peuple c'est une chose (et la manière dont tu les décris est totalement caricaturale, les prolos sont loin de se moquer du droit des sans-papiers car une bonne partie non négligeable d'entre eux le sont ou travaillent avec eux), ça change rien au bon sens prolétarien de répudier les modes et tendances de la petite bourgeoisie. C'est pas très difficile de distinguer les deux pourtant.

Fusako Shigenobu a écrit:

C'est pas très difficile de distinguer les deux pourtant.

Euh
Que des points en commun sauf l'argent ?

Fusako Shigenobu a écrit:

ça change rien au bon sens prolétarien

L'expression de démago. Je pensais pas que des gens pouvaient parler sérieusement de "bon sens" ici !

Mais sinon je suis aussi perplexe sur l'école à la maison.

Y'a des non-étudiants qui croient encore au bon sens des prolos?
fake!